Sophie Hamard, ostéopathe à Valencienne, ira à la formation animée par Robert Rousse à Nantes les 3, 4, 5 et 6 décembre prochains : « Techniques d’urgences fonctionnelles ». (détails du stage ci-après)
Pour covoiturer avec elle : sophie.hamard@nornet.fr
Les autres stages animés par Robert Rousse seront : « postures lésionnelles intra utérines » :
- les 26,27,28 et 29 novembre à Lyon
- les 21,22,23 et 24 janvier 2016 à La Cluzaz
Pour toute précision concernant l’organisation et le lieu précis de chaque stage veuillez contacter : R. ROUSSE :
- portable. 001-(514)-465-4450 (canada)
- E-mail : robertrousse2 @aol.com ou http://centre-croir.com
Le prix de chaque stage est de : 720 Euros (chèque libellé à l’ordre de R. Rousse)
télécharger le descriptif et le bulletin d’inscription : Programme_CROIR_2015-2016
LES TECHNIQUES OSTÉOPATHIQUES D’URGENCE FONCTIONNELLE I
C’est le stage de base de tout le programme.
Que faire face à un patient monobloc? Par où commencer ? Par libérer la mobilité, ou récupérer la vitalité ? Quelle est l’urgence fonctionnelle de ses tissus ?
Comment la localiser et mettre en place une méthodologie de traitement qui soit confortable, puissante, efficace et rapide pour permettre aux tissus de recommencer à bouger et à respirer. Comment minimiser la ‘’récidive’’.
A partir des concepts de base de l’Ostéopathie : les relations entre le local et le global, l’hypo et l’hyper activité tissulaires, les principes fonctionnel et structurel, la mobilité et la vitalité, le concept du principe ‘’volumétrique’’ permet de déterminer les relations lésionnelles qui unissent certains endroits du corps ou qui perturbent la liberté d’un plan tissulaire par rapport à un autre de mettre en place des positions de traitement et de créer les techniques adaptées à presque tous les gabarits de sujets et de praticiens, tel est le thème de ce stage essentiellement pratique concernant le bassin, les lombaires la charnière dorso-lombaire, le thorax (avec la notion des cylindres thoraciques), la charnière cervico-dorsale et l’axe central et de ses 3 composants: dure mérien, myo fascial et osseux vertébral…
LES POSTURES LÉSIONNELLES INTRA-UTERINES I
Destiné à ceux qui désirent commencer ou compléter leur approche en Ostéopathie pédiatrique. L’approche de Robert ROUSSE, vous permet de vous familiariser avec l’impact que peuvent avoir certaines positions prises par le fœtus in utero. Ces postures vont nettement influencer l’apparition de symptômes qui sont les motifs de consultations de bon nombre de nos petits patients : des bébés qui régurgitent, qui dorment mal, qui ont des coliques, qui font des colères ou des cauchemars, qui se tiennent penchés d’un côté, ou tournent toujours la tête du même côté, et qui parfois présentent une asymétrie crânienne marquée.
À la palpation et lors des tests, on remarque que se sont toujours les mêmes zones qui semblent en difficulté, soit par manque de mobilité, soit par manque de vitalité ou parfois même pour les deux raisons. On remarque également que ces bébés se mettent dans des positions assez bizarres et parfois même extrêmes en cours de traitement. Des positions qui ne peuvent être imputées à la naissance qui s’est déroulée tout à fait normalement, ce qui amène automatiquement la réflexion « S’il ne s’agit pas du processus de la naissance elle-même (qui peut également apporter son lot de traumatismes) et qu’il ne s’est rien passé APRÈS la naissance, cela signifie que c’est arrivé AVANT la naissance, donc PENDANT la Retrouver les postures qui se sont imprimées dans les tissus, et décoder ce qui s’est réellement passé permet d’aider le bébé à éliminer les empreintes lésionnelles tant physiques qu’émotionnelles. Ce stage présente les 5 postures les plus fréquentes, leur schéma d’installation, ainsi que la méthodologie de correction. Il est agrémenté par le traitement commenté d’un bébé à la fin de chaque matinée et de chaque après-midi de stage et de quelques pratiques vous permettant de vous familiariser avec la combinaison des paramètres et des concepts fonctionnels et structurels, d’utiliser le concept « volumétrique » très utile avec vos patients adultes « monoblocs ».
LE THORAX, LA ZONE CERVICO-DORSO-THORACIQUE ET LE MEMBRE SUPÉRIEUR
Nos patients viennent nous consulter pour différentes raisons. Pour l’un, ce sont des cervicalgies, pour d’autres des lombalgies, d’autres souffrent de maux de tête, de maux d’estomac ou se plaignent de leur intestin. Mais je pense que vous avez constaté, comme moi, qu’à chaque fois que l’on travaille sur leur tissus on se trouve confronté à une problématique quelque peu différente : Ce n’est pas la zone douloureuse qui réclame de l’attention. On se heurte le plus souvent à un bassin ou un thorax très dense quand ce n’est pas les deux qui sont bloqués en même temps ! Et, malheureusement, ceci se répète très souvent et j’aurais même tendance à dire, trop souvent. Nous sommes confrontés à de véritables ‘’coffre forts’’ thoracique ou pelvien. On ne peut plus s’occuper de lésion car elle est enfermée dans un bloc tissulaire. On a beau se servir de toutes nos connaissances, la plupart du temps le résultat n’est pas satisfaisant ou ne tient pas dans le temps. Ceci est dû au fait que d’une part, le problème est bien plus profond et bien plus ancien que nous le pensons, et que d’autre part, on s’évertue à raisonner MOBILITÉ alors qu’on devrait raisonner VITALITÉ.
Il s’agit d’ouvrir un coffre fort, de faire fondre une DENSITÉ, pas de corriger une lésion ! C’est le plus souvent pour cette raison que nous nous cassons les dents sur les patients monoblocs. La zone cervico-dorso-thoracique, est certainement LA zone la plus impliquée chez pratiquement tous nos patients. Elle demande une compréhension et une attention toute particulière. N’est-elle pas la zone rythmique du corps par excellence (pompe cardiaque veineuse, artérielle et lymphatique),et le siège de toutes nos émotions ? Il est donc essentiel de libérer et de restaurer cette zone pour lui redonner toute sa fonctionnalité et faire en sorte que le corps ne soit pas obligé de compenser dans un autre endroit. Le fait que presque tous nos patients se présentent avec un thorax ‘’monobloc’’ nous amène à penser que ceci doit interférer avec la liberté et la vitalité de l’axe central. Sa connexion avec le membre supérieur et la colonne cervicale, nous aide à comprendre les relations lésionnelles qui peuvent exister entre les problèmes d’épaule et la rigidité d’un cylindre thoracique (hémi thorax) par exemple.